00.5 Terminologie

DESCRIPTION

- Définition / Comprend

LEXIQUE

Article - Dénomination donnée aux éléments de niveau 6 de la classification du CCTB.

CCT - Cahier des charges type.

CCTB - Cahier des Charges Type Bâtiments.

CDC - Cahier des charges.

Classification - Table des matières du CCTB.

CSC - Cahier spécial des charges.

Eléments - les généralités et articles du CCTB constituent les éléments du CCTB.  Un élément est composé d'un index, d'un titre et d'un descriptif réparti en différentes rubriques et sous-rubriques.

Généralités - Au-delà du sens commun, dénomination donnée aux éléments de niveau 1 à 5 de la classification du CCTB.

Index - Numérotation de l'élément au sein de la classification.

ACCESSIBILITE AUX PERSONNES À MOBILITE RÉDUITE

L’accessibilité fait référence aux notions d’accès à l’infrastructure et de possibilité d’utiliser effectivement les fonctions qu’elle abrite par l’ensemble des personnes à mobilité réduite (PMR).

Au niveau de la spécification des généralités/articles, lorsqu’un choix est suivi de la notation « (PMR) », cela signifie que ce choix est recommandé pour l’accessibilité aux PMR.

(Voir également [SWL CALA] et [AGW 2014-05-15 PMR])

 

ENERGIE

Une approche énergétique intégrée doit être adoptée dès la conception et lors de la construction des bâtiments. 

En Région wallonne, c’est le [DRW 2013-11-28] qui cadre cette approche.  Le calcul PEB, les niveaux d’exigences à respecter ainsi que les sanctions applicables en cas de non-respect de la réglementation sont déterminées par l’[AGW 2014-05-15 PEB].

DOCUMENTS DE REFERENCE

  • [AGW 2014-05-15 PEB] et ses annexes.
  • Etanchéité à l’air :
    • Norme [NBN EN 13829]
    • Spécifications supplémentaires pour la mesure de l'étanchéité à l'air de l'enveloppe des bâtiments [EPBD Air], précisées par la Région dans le cadre de la réglementation PEB.

DEFINITIONS ET SYMBOLES

Le calcul de la performance énergétique d’un bâtiment se fait selon l’[AGW 2014-05-15 PEB] du Gouvernement wallon. Il fait, pour les bâtiments résidentiels, notamment appel aux grandeurs suivantes : 

  • Le coefficient de transmission thermique d’une paroi (valeur U en W/m²K) :
    quantité de chaleur traversant, en régime permanent, une paroi plane séparant deux ambiances, par unité de surface, unité de temps et unité de différence de température.
  • La conductivité thermique des matériaux de construction (valeur lambda en W/mK) :
    quantité de chaleur traversant, en régime permanent,1 mètre du matériau par unité de surface, par unité de temps, et par unité de différence de température.
    Comme valeur de calcul, on utilise l’une des valeurs suivantes :
  •  
    • La valeur lambda Ui correspondant aux conditions intérieures et utilisée pour les matériaux des parois internes ou externes dans la mesure où ils ne peuvent être mouillés ni par pénétration d’eau, ni par condensation interne ou de surface permanente, ni par l’humidité ascensionnelle.
    • La valeur lambda Ue correspondant aux conditions extérieures et utilisée pour tous les matériaux des parois externes, qui peuvent être mouillés. Elle est également utilisée pour les matériaux qui ont été mouillés pendant le placement et qui sont mis en œuvre de manière étanche à la vapeur d’eau.
    • Pour les produits d’isolation et les produits pour lesquels la valeur lambda est une propriété importante, les valeurs de calcul lambda U sont exclusivement déterminées d’après la valeur déclarée lambda D (ou RD) du produit spécifique, certifiée par le fabriquant sur base de la norme produit concernée ou d’une déclaration d’aptitude telle que décrite au chapitre 02.42.1 Critères d'acceptabilité du présent cahier des charges.
  • La résistance thermique d’une paroi/d’un élément de construction (valeur R en m²K/W) :
    est égale à l’inverse du coefficient de transmission thermique U de cet élément de construction (ou d'un de ses composants) entre deux ambiances.
  • Le coefficient de performance (COP) : rapport entre la puissance de chauffe et la puissance absorbée d’une pompe à chaleur
  • Le rendement de production : rapport entre la fourniture de chaleur par l'installation de production de chaleur au système de distribution de chaleur et l'énergie nécessaire pour générer cette chaleur.  Dans le calcul PEB « résidentiel », le rendement demandé est celui à 30% de charge.
  • La puissance crête : puissance de crête d’un système photovoltaïque en Watts, pour un flux d'ensoleillement de 1000 W/m², déterminée selon [NBN EN 60904-1]

Ces éléments permettent d’évaluer le niveau d’isolation thermique globale K, le niveau de consommation en énergie primaire Ew et la consommation spécifique Espec des bâtiments soumis à la réglementation PEB.

Plusieurs de ces informations sont des données-produits dont il faut s’enquérir auprès des fabricants.

ISOLATION THERMIQUE

L’isolation thermique des bâtiments est un des paramètres importants de leur performance énergétique.

Du point de vue réglementaire, le niveau global d’isolation thermique du bâtiment dans son ensemble (niveau K) se calcule selon l’Annexe VII, §16, de l’[AGW 2014-05-15 PEB].  Le niveau d’exigence à atteindre, selon le type de bâtiment envisagé, est défini dans ce même [AGW 2014-05-15 PEB] et ses modifications. 

Le coefficient de transmission thermique des parois - leur résistance thermique - est évaluée selon les règles décrites dans l’annexe VII de l’[AGW 2014-05-15 PEB]. Elle dépend à la fois de la composition des éléments de construction concernés et de leur environnement proche (contact avec le sol ou avec une lame d’air, …).  Les niveaux de performance exigés par la PEB pour chaque type de paroi sont précisés dans l’annexe III de l’[AGW 2014-05-15 PEB].

Lors de la conception et de la construction du bâtiment, il importe, tant pour la durabilité du bâtiment que pour limiter ses déperditions thermiques, d’assurer au mieux la continuité de l’isolation de l’enveloppe au droit de chacun des nœuds constructifs. La prise en compte de ces éléments dans le calcul PEB est précisée dans l’annexe IV de l’[AGW 2014-05-15 PEB].

-> les titres du présent cahier des charges type (CCTB) qui sont concernés par la thématique de l’isolation sont les suivants :

  • 15.4 : Isolation des dalles sur sol
  • 26.4 : Isolation des éléments de structure
  • 45.4 : Isolation en fermeture ou finition extérieure
  • 52.4 : Isolation en fermeture ou finition intérieure

 ETANCHEITE AUX MATIERES GAZEUSES / ETANCHEITE A L’AIR

L’étanchéité à l’air d’une construction définit sa capacité à empêcher le passage de l’air de l’extérieur vers l’intérieur et inversement. Elle se quantifie à l’aide du débit de fuite qui traverse l’enveloppe sous une différence de pression donnée entre l’extérieur et l’intérieur du bâtiment.

En Belgique, on exprime l’étanchéité à l’air pour une différence de pression de 50 Pa.

Les grandeurs suivantes sont souvent utilisées pour exprimer l’étanchéité à l’air :

  • V50 : débit de fuite à travers l’enveloppe du bâtiment [m³/h]
  • n50 : taux de renouvellement d’air [vol/h] (débit de fuite rapporté au volume intérieur du bâtiment)
  • v50 : perméabilité de l’enveloppe [m³/(h.m²)] (débit de fuite rapporté à la surface de l’enveloppe).

Elle dépend de la conception du bâtiment et du soin apporté à sa mise en œuvre (particulièrement aux jonctions et perforations).

Son niveau ne peut être calculé a priori ; il est mesuré sur site via un test de pressurisation, appelé également test d’infiltrométrie ou « Blower door test » (voir § 03.41.3b Mesures de l'étanchéité à l'air d'un bâtiment).

-> les paragraphes de ce cahier des charges concernés par la thématique de l’étanchéité à l’air sont les suivants :

  • §15.2 : Etanchéisation aux matières gazeuses des dalles de sol
  • §26.2 : Etanchéisation aux matières gazeuses des éléments de structure
  • §32.2 : Etanchéisation aux matières gazeuses des toitures
  • §45.2 : Etanchéisation aux matières gazeuses des fermetures et finitions extérieures
  • §52.2 : Etanchéisation aux matières gazeuses des fermetures et finitions intérieures

 
Notes à l’auteur de projet :

Note 1 : L’aspect ‘étanchéité à l’air’ doit être pensé dès la conception du projet et doit être discuté lors des réunions de chantier.  Il implique une coordination attentive des travaux entre corps de métier.

Note 2 : Il est important d’aborder la construction de tous les éléments de l’enveloppe en tenant compte du niveau d’ambition d’étanchéité à l’air que l’on souhaite atteindre :

Débit de fuite à atteindre :

  • v50 de 12 à 6m³/h.m² :  étanchéité à l’air de base
  • v50 de 6 à 2 m³/h.m² :  prise de conscience de la problématique, positionnement judicieux des installations techniques, soin à apporter dans l’exécution et bonne coordination nécessaire entre intervenants.
  • v50 inférieure à 2 m³/h.m² : valeur ambitieuse nécessitant une véritable expertise de tous les intervenants et un soin tout particulier apporté aux détails. Des mesures intermédiaires visant à détecter les fuites éventuelles sont souhaitables.

Dans le cas où l’auteur de projet indique un niveau d’étanchéité à atteindre, il ne peut le faire qu’en précisant tous les éléments et modes de mise en œuvre permettant de tendre vers cet objectif.

Il importe également qu'il définisse comment seront réparties les responsabilités si l'objectif n'est pas atteint.

Note 3 : Bien qu’elle soit valorisable dans le calcul PEB, la mesure de l’étanchéité à l’air d’un bâtiment n’est pas imposée par la réglementation. Mais dans le cas où une/des mesures sont opérées, il peut cependant être utile de préciser qui peut procéder aux mesures et à quel(s) moment(s) (indiquer si des mesures intermédiaires sont souhaitables). Dans le cas où une exigence ambitieuse est demandée et que plusieurs corps d’état sont concernés, le test peut faire l’objet d’une convocation (voir 03.41.3b Mesures de l'étanchéité à l'air d'un bâtiment).

 

INCENDIE

Résistance au feu

Définition : La résistance au feu est l’aptitude d’un élément d’un ouvrage à conserver, pendant une durée déterminée, la capacité portante, l’étanchéité et/ou l’isolation thermique requises, spécifiées dans un essai normalisé de résistance au feu.

 

Classification : Le système de classification de la résistance au feu est décrit dans la norme de classification [NBN EN 13501-2], [NBN EN 13501-3+A1] et [NBN EN 13501-4]. Ces dernières définissent trois critères principaux :

  • Critère R (capacité portante) : La capacité portante R est l'aptitude de l'élément de construction à supporter l'exposition au feu sous des actions mécaniques définies sur une ou plusieurs faces pendant un temps donné sans perte de stabilité structurale.
  • Critère E (étanchéité au feu) : L'étanchéité au feu E est l'aptitude d'un élément de construction ayant une fonction de compartimentage à résister à une exposition au feu sur un seul côté sans transmission au côté non exposé du fait du passage de quantités importantes de flammes ou de gaz chauds du feu vers le côté non exposé. Ces flammes ou gaz chauds peuvent entraîner l'allumage soit de la surface non exposée au feu soit d'un matériau adjacent à cette surface.
  • Critère I (isolation thermique) : L'isolation thermique I est l'aptitude de l'élément de construction à résister à une exposition au feu sur un seul côté sans le transmettre par suite d'un transfert de chaleur important depuis le côté exposé vers le côté non exposé. La transmission doit être limitée de façon à ne pas enflammer la surface non exposée ni aucun matériau dans le voisinage immédiat de celle-ci. L'élément doit assurer également une isolation thermique suffisante pour protéger les personnes situées à proximité.

 

Des critères additionnels peuvent compléter ces critères principaux (rayonnement W, impact mécanique M, étanchéité aux fumées S, …). Le critère S est utilisé pour les clapets résistant au feu et les portes résistant au feu dans des cas particuliers.

  • Critère S (Etanchéité aux fumées) : L’étanchéité aux fumées S est l'aptitude de l'élément de construction à réduire le passage de gaz ou de fumée à température ambiante et durant l'exposition à l'essai normalisé de température/temps. Le taux de fuite est corrigé à 20 °C.

 

Les autres critères additionnels ne sont actuellement pas utilisés en Belgique.

 

La résistance au feu s’exprime en minutes, précédées des lettres relatives aux critères principaux (et, le cas échéant, additionnels). Le tableau suivant reprend les classes couramment utilisées en Belgique.

 

Type d’élément de construction

Classes courantes en Belgique

Eléments porteurs et structurels, sans fonction séparant (par exemple : colonne, poutre, plancher d’une mezzanine, …)

R 15, R 30, R 60, R 120

Eléments porteurs et structurels, avec fonction séparant (par exemple : plancher de compartimentage, …)

REI 30, REI 60, REI 120

Eléments non porteurs, à l’exclusion des portes (cloisons légères, traversées de parois, …)

EI 30, EI 60, EI 120, EI 240

E 30, E 60, E 120

Conduits de ventilation et clapets*

EI 30-S ho i↔o, EI 30-S ve i↔o

EI 60-S ho i↔o, EI 60-S ve i↔o

EI 120-S ho i↔o, EI 120-S ve i↔o

 

Portes

EI1 30, EI1 60, EI1 120

* Les additions «i ↔ o», «o → i» ou «i → o» sont utilisées respectivement avec «ve» et/ou «ho» pour indiquer l'orientation (verticale et horizontale).

 

Attestation de la résistance au feu d’un élément de construction : La résistance au feu d’un élément de construction peut être attestée par

  • Un essai conformément aux normes d’essai référencées dans la norme de classification [NBN EN 13501-2], [NBN EN 13501-3+A1] et [NBN EN 13501-4] ou
  • Un calcul conformément aux « Eurocodes structuraux », c’est-à-dire l’ensemble des normes européennes se rapportant à la conception et au dimensionnement des bâtiments - voir Catalogue des documents de référence (CDR)). Dans le cas des bâtiments tombant sous le champ d’application de l’arrêté royal normes de prévention de base, l’utilisation des Eurocodes structuraux pour le calcul de la résistance au feu peut être soumis à des conditions particulières.

 

Réaction au feu

Définition : La réaction au feu est le comportement d’un produit qui, dans des conditions d’essai spécifiées, alimente par sa propre décomposition un feu auquel il est exposé. En d’autres termes, il s’agit de l’ensemble des propriétés d’un produit susceptibles d’influencer le départ et le développement d’un incendie.

 

Classification : Les classes avec leurs performances au feu correspondantes sont données au

  • Tableau 1 pour les produits de construction, hormis les revêtements de sol,
  • Tableau 2 pour les revêtements de sol et
  • Tableau 3 pour les produits d’isolation thermique pour conduite linéaire.

 

A1

A2-s1, d0 A2-s1, d1 A2-s1, d2

A2-s2, d0 A2-s2, d1 A2-s2, d2

A2-s3, d0 A2-s3, d1 A2-s3, d2

B-s1, d0 B-s1, d1 B-s1, d2

B-s2, d0 B-s2, d1 B-s2, d2

B-s3, d0 B-s3, d1 B-s3, d2

C-s1, d0 C-s1, d1 C-s1, d2

C-s2, d0 C-s2, d1 C-s2, d2

C-s3, d0 C-s3, d1 C-s3, d2

D-s1, d0 D-s1, d1 D-s1, d2

D-s2, d0 D-s2, d1 D-s2, d2

D-s3, d0 D-s3, d1 D-s3, d2

E

E-d2

F

A1fl

A2fl-s1 A2fl-s2

Bfl-s1 Bfl-s2

Cfl-s1 Cfl-s2

Dfl-s1 Dfl-s2

Efl

Ffl

A1L

A2L-s1, d0 A2L-s1, d1 A2L-s1, d2

A2L-s2, d0 A2L-s2, d1 A2L-s2, d2

A2L-s3, d0 A2L-s3, d1 A2L-s3, d2

BL-s1, d0 BL-s1, d1 BL-s1, d2

BL-s2, d0 BL-s2, d1 BL-s2, d2

BL-s3, d0 BL-s3, d1 BL-s3, d2

CL-s1, d0 CL-s1, d1 CL-s1, d2

CL-s2, d0 CL-s2, d1 CL-s2, d2

CL-s3, d0 CL-s3, d1 CL-s3, d2

DL-s1, d0 DL-s1, d1 DL-s1, d2

DL-s2, d0 DL-s2, d1 DL-s2, d2

DL-s3, d0 DL-s3, d1 DL-s3, d2

EL

EL-d2

FL

Tableau 1

Tableau 2

Tableau 3

 

Attestation : La performance de réaction au feu d’un produit est attestée par un rapport de classification basé sur les normes d’essai référencées dans la norme de classification [NBN EN 13501-1].

 

 

Performance au feu extérieur des toitures

Définition et classification

 

La performance au feu des toitures est classée selon la norme [NBN EN 13501-5], sur base de la norme d’essais [NBN CEN/TS 1187]. Cette dernière comprend quatre méthodes d’essais qui correspondent aux scénarios d’incendie. La réglementation en vigueur en Belgique fait référence à l’essai 1 pour le classement des toitures (Classe BROOF(t1)).

  • Essai 1 et classe BROOF(t1) : Méthode avec brandons enflammés : Cet essai évalue la performance d'une toiture dans les conditions d'attaque thermique avec des brandons enflammés. La performance inclut la propagation du feu à travers la surface extérieure de la toiture, la propagation du feu à l'intérieur de la toiture et la pénétration du feu.

 

Les produits et/ou matériaux de couverture de toiture pouvant être considérés comme répondant à l'ensemble des exigences pour ce qui est de la caractéristique de performance vis-à-vis d'un feu extérieur sans qu'il soit besoin de procéder à des essais (sous réserve que soient satisfaites les dispositions nationales relatives à la conception et à l'exécution des ouvrages) sont repris dans les listes « Deemed to satisfy » ou « Classified without further testing », approuvées et ratifiées par des décisions de la Commission européenne et publiées dans le Journal Officiel de l’Union Européenne.

 

Attestation : La performance au feu extérieur d’une toiture est attestée par un rapport de classification basé sur la norme d’essai [NBN CEN/TS 1187] référencée dans la norme de classification [NBN EN 13501-5].

 

LUMIERE

CONTRASTE – LIGHT REFLECTANCE VALUE (LRV) 

Les normes [NBN ISO 21542] et [BS 8300] définissent la « Light Reflectance Value (LRV) » d’une surface comme étant la proportion de lumière visible réfléchie par cette surface, à toutes les longueurs d’ondes et dans toutes les directions, lorsque que cette surface est éclairée par une source lumineuse. Il s’agit en fait du coefficient de réflexion de cette surface.

La LRV est exprimée sur une échelle de 0 à 100%, avec une valeur de 0% pour le noir pur et une valeur de 100% pour le blanc pur.

La différence de LRV entre deux surfaces est la valeur utilisée pour évaluer le degré de contraste visuel entre ces deux surfaces.